Direction Générale de la Lutte contre la Corruption
Créée par Décret n°00262/PR/MPBGLCCEPP du 02 décembre 2019, la Direction Générale assure la mise en œuvre de la politique du Gouvernement en matière de Lutte Contre la
Corruption.
- Elle comprend des services d'appui (Service Ressources Humaines et Moyens; Service
Planification et Programmation des Équipements ; Service Administratif, Financier et
Juridique ; Service Accueil, Courrier, Archives et Documentation) et des services centraux
(Direction de la Stratégie de Lutte Contre la Corruption et Direction de la Sensibilisation).
À ce titre, elle est notamment chargée :
- de proposer les stratégies de lutte contre la corruption ;
- de contrôler, suivre et évaluer les programmes de lutte contre la corruption ;
- de définir les outils de surveillance, de prévoyance et de lutte contre la corruption, en collaboration avec les autres administrations compétentes ;
- de participer à l'élaboration du budget de la Direction Générale et d'en suivre l'exécution ;
- de veiller au respect et à l'application des lois et règlements en matière d'éthique et de déontologie dans les services publics ;
- d'élaborer des projets visant à améliorer la transparence et l'équité dans la gestion des affaires publiques ;
- de participer aux travaux des organismes sous régionaux et internationaux traitant des questions de lutte contre la corruption, en collaboration avec les autres administrations compétentes ;
- d'élaborer et proposer la réglementation, les directives et instructions utiles à la mise en œuvre et à l'exécution de la politique de lutte contre la corruption ;
- d'organiser des séminaires et des conférences de sensibilisation relatifs à la prévention de la corruption ;
- de formuler des recommandations destinées aux organismes ou à toute personne du secteur public ou privé sur toute mesure visant à favoriser la prévention et la lutte contre la corruption.
L’ambition portée par la tutelle vise à permettre au Gabon :
- de hausser la lutte contre la corruption au rang de priorité nationale, en limitant les effets négatifs sur tous les aspects (administratifs, économiques, politiques et sociaux)
• d’opérer la prise de conscience de ces effets en augmentant les capacités des institutions ainsi que la collaboration avec toutes les sphères et catégories d’acteurs à différentes échelles et sur la base des meilleures pratiques reconnues au plan international.